Un peu de vie dans cet endroit mort ... (PV Cristaleyes)

Vincent se retrouva étendu au sol dans les bras de la charmante louve. Son coeur avait fait un bond puis s'était mis à battre si fort qu'il semblait vouloir lui briser les os. Elle lui parlait à voix douce, et prononça une phrase dont il ne compris pas tous le sens (mais c'était suffisant). Il déplia ses bras, se redressa, la prit tendrement dans ses bras et plongea sa tête dans son cou en rougissant un peu.

- Je ...

Il soupira un grand coup, resserrant un peu son étreinte au passage et murmura une petit "je t'aime" au creux de son oreille. Il huma la flagrance de la peau laiteuse de Cristaleyes. Il prit doucement son petit menton entre son pouce et son indexe et avança son visage près du sien, leurs lèvres se touchèrent ; d'abord très furtivement puis un peu plus tendrement. Il savoura cet échange le coeur battant à tout rompre, ses émotions le dépassaient ; il était heureux, il se sentait léger, c'était si doux !

La louve ne s'attendait pas à une réponse aussi 'physique' après un tel evenement dramatique. Couchée sur le lui, elle se snetait bien, et ne savait pas s'il avait compris ce qu'elle avait voulu lui dire.
Mais la réponse ne se fit pas attendre, redressé, la prenant dans ses bras, il ne savait pas vraiment quoi dire, mais les mots ne sont pas toujours necessaire pour exprimer un sentiment aussi fort que 'lamour naissant entre les deux ^êtres.
Tout deux hésitaient, comme des adolescents soucieux, mais finir par échanger un doux baiser.
La louve baissa les oreilles d'émotions, car jamais elle ''navait eu droit à un traitement de faveur aussi particulier, jamais on ne l'avait embrassé, et jamais, elle n'avait ressenti ce trop plein d'émotions fortes. Le coeur battant à tout rompre, sa queue bougeait doucement de plaisisr, et il lui sembla que ce baiser dura une eternité...

Ce n'était peut être pas faux, mais lorsqu'ils relacherent leur étreinte et briserent ce prmeier baiser, c'était comme s'il quelquechose venait de se dechirer pour mieux renaître. Elle rougit et se sentit mal à l'aise, puis souris à Vincent et se leva prestement pour cacher sa gêne.

"Hop au lit, il se fait tard !"

C'était presque comme si elle allait le pousser dans sa chambre, comme si de rien n'était. Son corps subissait un trop plein d'émotions, il lui fallait retrouver ses esprits au calme et planifier la situation, comme elle l'avait toujours fait, en competence de philosophe.
Tous ses sens étaient alerte, elle s'avouait d'ailleurs à elle même, qu'elle ne gerait pas bien cette emotion.

Vincent lui lissait tendrement les cheveux pendant le doux échange. Elle faisait onduler sa queue de louve sur le parquet et ses oreilles étaient baissées. Ils se séparèrent enfin, tout doucement, il osa la regarder droit dans les yeux ; ses beaux yeux vairons ...
Il aurait tant aimé se perdre à nouveau dans ses bras fins, se noyer dans son parfum ...
Elle se redressa très vite, lui sourit, et, comme si elle avait fait une bêtise, elle se retourna et s'écria qu'il était tant d'aller dormir. Cette attitude le fit doucement sourire, il se leva doucement, passa une dernière fois ses doigts dans la toison rousse de Cristaleyes et s'en alla à petits pas vers sa chambre.
Il resta planté devant son lit, dans l'obscurité de la nuit, il passait ses doigts sur ses lèvres fines comme s'il doutait de leur existence. Il sourit doucement et se laissa tomber sur son lit. La tête enfoncée dans l'oreiller, le corps à moitié submergé par les draps et les couvertures, il s'endormit presque instantanément, un doux sourire éclairant son visage faisant penser à un ange.
Il rêva ; la louve le serrait contre elle et il l'embrassait tendrement, elle était entourée d'un halo de lumière douce et chaleureuse ...
bidibip... bidibip...bidibip...bidibip... /SBARF
- Shut up and let me dream again !
Il se réveilla finalement, sachant que Morphée l'avait quitté pour de bon. Il prit une douche, s'habilla (chemise blanche ouverte sur tee shirt noir, jean foncé, santiags sobres), avala un rapide petit déjeuner et prépara celui de celle qu'il aimait : un assortiment de viennoiseries, un thé rouge, un peu de lait chocolaté et une rose rose* fraichement achetée chez le fleuriste dans un joli petit vase de cristal, le tout sur un petit plateau en argent. Il se dirigea dans le bureau où il trouva sa belle endormie, ses joues s'empourprèrent et il posa le plateau sur le petit pouf près du futon. Il s'installa à côté d'elle sur le parquet et la contempla en attendant son réveil. Elle était tellement belle, il profitait de cet instant magique en écoutant la douce respiration mêlée aux battements de son coeur.
Il soupira de bonheur.

Spoiler:

Cristaleyes avait frocé le départ de Vincent, et ecouta les quelques bruits preovenant de sa chambre et attendit de ne plus rien entendre pour se laisser penser.
Elle portaiot toujours sa chemise sur le dos, et se coucha ainsi, sur la couchette amenagée. Elle regardait le plafond le coeur gros, se demandant ce qui lui arrivait. Etait-ce cela que d'aimer ?
Elle avait peur de ce snetiment inconnu, mais mainte fois elle se retint pour ne pas gagner la chambre du jeune homme.
Et finalment, le sommeil vint la trouver, lui laissant libre choix de rêver à sa guise, sur le fait d'aimer.

La matinée était déjà avancée lorsqu'elle ouvrit un oeil, reveillée par les odeurs de thé et de lait chocolatée, mais aussi celle de la rose qui degageait un merveilleux parfum. Sa sensibilité olfactive dut à ses gênes de loup et sa capacité d'analyse la fit visualiser le plateau avant même qu'elle ne daigne ouvrir les yeux.
Mais l'odeur qui la fit reellement ouvrir les yeux était plus masculine, plus humaine, et elle savait que Vincent attendait son reveil. Elle se redressa et s'étira de facon très animale comme toujours, et le regarda et lui sourit.

"Bonjour. Tu attends depuis combien de temps que je me reveille ?!"

Elle avait peur que celui ci n'aie attendu la louve longtemps, mais pensa t-elle, il lui repondrais surement que la voir dormir ne le derangais pas.
Sans même attendre une reponse, elle bailla ouvertement. La nuit avait été une nuit de pensées plus que de sommeil. Tant pis, elle se reveillerai avec une bonne douche.

Vincent l'observa émerger doucement et s'étirer comme le font les animaux. En la regardant, il pensa à l'éclosion d'une rose, chaque geste, chaque mouvement était d'une grâce étonnante ; bouton la nuit et fleur le jour, il assistait à l'épanouissement de sa jolie fleur.
Il tendit doucement la main vers son visage et remit en place une mèche de cheveux qui tombait devant ses beaux yeux vairons. Ce geste était rempli de tendresse et de douceur.
Quand elle lui demanda combien de temps il avait attendu à son chevet, il sourit doucement les joues légèrement rosies :

- Peu importe le temps, je pourrais t'attendre indéfiniment...

Il n'osait pas lui dire qu'elle était aussi belle endormie que réveillée, que même dans les bras de Morphée elle était gracieuse et élégante. Il prit le plateau et le posa devant elle et lui tendit une serviette douce. Il resta assis en face d'elle à l'observer quelques temps avant d'ajouter :

- Aujourd'hui, on va faire quelques courses ensemble, je vais t'acheter quelques vêtements et un petit bijoux pour que personne ne t'embête ...

Il attendit qu'elle ait fini de manger et continua de la couver du regard.

La louve mangeait tout ce que lui plateau lui offrait, sans quitter des yeux Vincent. Elle l'écoutait, car chacune de ses paroles à la sonorité anglaise la rendait joyeuse et soulagée d'être auprès de lui. Les deux se devoraient du regard en silence...
Puis il parlait de sortir, de lui acheter des trucs. Elle ne pouvait qu'acquieser. Cela faisait deux jours qu'elle n'avait pas quitter l'appartement, restant indefiniment dans les chemises du jeune homme.

Après avoir finit son petit déjeuné, elle alla se doucher rapidement, par peur qu son maître ne la laisse en plan. C'était stupide, mais le quitter ne serait-ce qulque minutes lui était déjà penible. C'était d'ailleurs dur à avouer.
Elle remit les même vetements, essayant de ne pas paraitre négligé ou legerement habillée et vint retrouver Vinent qui avait debarassé le plateau de la chambre.

"Je suis prête !"

Il la regarda partir en hâte vers la salle de bains et en profita pour ranger le plateau (vidé cette fois), refaire le lit et ouvrir légèrement la fenêtre. Elle revint habillé de ses propre vêtements. Elle lui plaisait ainsi, il était persuadé que quelque soit la tenue qu'elle portait, elle restait élégante. Il lui sourit et déposa un tendre baiser sur sa joue tout en passant doucement sa main dans ses cheveux.
Il se dirigea vers une petite armoire dans le couloir et sortit des petites chaussures de marche qu'il avait furtivement achetées pour un neveux qui ne vint jamais et qui étaient (semble-t-il) adaptées aux petits pieds de la belle aux yeux vairons. Il les lui tendit, attrapa sa longue veste en cuir, ses lunettes de soleil et son trousseau de clefs. Il regarda par dessus ses Ray-ban la louve qui avait enfilé les godasses avec une étrange rapidité et sourit.

C'est partit, on y va !

Ils prirent l'ascenseur, traversèrent le parking sous terrain, et Vincent introduisit sa clef dans la serrure d'un ancien modèle d'Austin entracte. Il grimpa dedans et invita Cristaleyes à s'installer à la place passager et fit gronder le vieux moteur avant de démarrer.
Direction : le centre commercial !

La louve enfila les chaussures prêtées et eut du mal de s'y snetir bien. Toujorus elle avait été pied nus, et même si elle avait déjà enfilé des chaussures dans sa vie, ce n'était pas la chose la plus confortable.
Finalement, elle était prête et suivit Vincent jusqu'à sa voiture. Il était si doux avec elle...

Durant le trajet, bien qu'il ne fut pas long, elle le regardait avec ses yeux si penetrant, comme si elle desirait lire en lui. Et il tournait de temps en temps, pour repondre à ce regard par un sourire.

Les voilà arrivé devant le gros centre commercial, coeur de la ville. La voiture garé, le contact areté, la louve, perdue dans ses pensées, ne remarqua pas qu'ils étaient arrivés et restait là, à le regarder encore et toujours, la tête pleine d'idées et de pensées en vrac.

[HRP: je te laisse commencer au cnetre commercial je ne sais pas où tu veux aller presicement Wink

!]

et voilààà : c'est ici ! > clik !

(désolé pour ce double post ! "promis jle refrais pluuus !!!") suite du centre commercial

Ils arrivèrent très rapidement, non pas qu'il conduisait plus vite mais il était ailleurs et ressassait de belles pensées tout en souriant aux anges. Ils arrivèrent dans le parking souterrain, le moteur s'arrêta... Il eut juste le temps d'entendre la détonation de la boucle de ceinture de Cristaleyes et de tourner la tête, qu'elle l'embrassait déjà. Il en rougit un peu puis fit prolonger leur échange en la serrant un peu contre lui et en lui caressant les cheveux. Ils se séparèrent enfin, il lui sourit, la couvant du regard. Il se détacha et sortit de la voiture accompagné de la louve.
L'ascenseur montait plus vite que d'habitude ...
Ils arrivèrent à la porte de l'appartement, il trifouilla dans la serrure avec une très laide petite clef, ouvrit en grand et rentra en soupirant de soulagement. Certes, il avait été légèrement suivi par des groupies et avait du discuter avec l'une d'entre elles, mais les paparazis lui ont foutu la paix et il a pu passer un bon moment avec sa belle aux yeux vairons.
Il posa ses lunettes sur une petite table près de la porte, accrocha sa veste au porte manteau, posa le sac de vêtements sur son lit et s'affala sur le canapé.

Uh ! I'm so tired !

Il regarda Cristaleyes, qui s'était installée près de lui et lui sourit. Son visage était éclairé par rapport au moment où il était au centre commercial. Il se redressa, tendit les bras et elle fut happée vers lui. Ils se retrouvèrent serrés ainsi, l'un dans les bras de l'autre pendant un petit moment...

La louve profita de cet instant, blottie dans se sbras, comme d'un soulagement après une longue journée, bien qu'elle fut courte mais rmeplie tout de même.
Elle avait eut peur qu'il prenne mal le fait qu'elle l'embrasse dans la voiture, mais puisqu'il l'invita à rejoindre ses bras sur le canapé, elle se dit que non.
Ils resterent ainsi un bout de temps, avant qu'lle ne releve la tête pour le regarder, toujours souriant. Ainsi l'un contre l'aurtre, ils auraient très bien pu s'endormir, heureux tout deux. Cristaleyes sentait la chaine à son poignet, et repensa à l'inscription et à ce que lui avait dit le jeune homme.
Etre aimé ainsi lui palisait, bien evidement, mais elle trouvait cela bizarre, presque irreel. Elle ne put s'empecher de briser le doux silence installé.

"Dis...tu m'aimes ?"

De cette facon, elle aurait put demander n'importe quoi d'autre, mais on sentait bien que cela la travaillait, car elle même ne savait pas trop si elle devait, si elle pouvait l'aimer. Avait-on jamais vu un tel couple ?
Elle le regardait de ses yeux bicolores, plongeant son regard dans le sien, qui paraissait etonné. Elle cherchait à lire en lui de la même facon qu'elle devorait les livres de philosophie bien que l'objet de l'attention était plus doux, plus chaud, plus ebau qu'un vieux livre.
Elle allait de surprise en surprise pour lui, mais pour elle aussi, ca ne semblait pas aussi simple que ca l'était reelement.

Vincent aurait pu ronronner s'il avait été un chat ou un Neko. Il la sentit se redresser doucement contre lui et le silence fut rompu par la douce et jolie voix de sa belle aux yeux vairons.

"Dis ... tu m'aimes ?"

Ces quelques mots provoquèrent des frissons de bonheur dans le dos sachant que sa réponse allait être positive :

Oui ...

Le "oui" était suffisant, ses yeux disait le reste, ses mains aussi qui lissaient tendrement la toison rousse. Il la serra plus fort contre lui et huma la fragrance de sa peau douce et laiteuse. Il déposa un doux petit baiser dans le cou de la demoiselle et se mit à rire ; un doux rire de joie, un rire léger. Il s'en fichait de savoir si on pouvait s'aimer entre humains et hybrides, il s'en fichait du regard des gens, il s'en fichait de tout ; tout ce qu'il voulait, c'est vivre avec elle pour toujours.

Il lui avait dit oui. Elle s'en doutait...elle le voulait aussi.
Il riait maintenant, finalement, cette sincerité semblait avoir mis quelquechose au point entre eux. Cristaleyes sourit aussi. Elle avait aussi envie de partager une vie avec lui, une vie entiere et remplie.
Cela faisait quelques jorus qu'ils étaient ensemble, un coup de foudre on aurait pu croire. Mais c'était une reelle attirance de chaque jour qui s'epanouissait entre eux.
La louve se laissait caresser les cheveux avec délice, ses oreilles etaient droites et sa queue remuait de gauche a droite, tant elle était heureuse.
Elle se redressa davantage, et lui deposa un doux baiser au coin des lèvres, avant de sourire.

"Moi aussi, je t'aime."

Elle eut envie de finir sa phrase par 'je crois' mais non, elle en était sure. Elle avait un peu peur de ce qui pourrait arriver par la suit, mais tant pis, elle l'aimait et que ceux que çà derangeraient aille se faire voir.
Elle se mit à califourchon sur le jeune homme, pour être face à lui, et passant ses bars autour du cou, elle s'appuya contre lui doucement, et ferma les yeux. Elle était simplement sereine et heureuse.
Mais jusqu'où iraient-ils ?

Vincent profita de cette position pour la serrer tendrement contre lui.
Comment avait il pu vivre sans elle avant ? Il devait surement être dans une apathie profonde, une totale léthargie émotionnelle !
Il était heureux. Il se mit a caresser le dos à la cambrure parfaite de sa belle, plonger sa tête dans son cou en y déposant des petits baisers du bout des lèvres entre deux mots doux. Il voulait se noyer dans son parfum, nager dans son regard bicolore, se faire tout petit roulé en boule dans ses longs bras à la peau si douce... Il voulait se donner à elle tout entier, comme si c'était lui l'hybride et elle le maître. Il tourna la tête vers son beau visage et lui sourit en la couvant du regard.

Tu es vraiment merveilleuse ...

Il passa doucement sa main sur la joue douce de Cristaleyes en la dévorant des yeux. Il prit son petit menton entre ses doigts et l'embrassa, d'abord tendrement puis un peu plus follement tout en caressant son dos avec douceur...

Cristaleyes etait bien ainsi blottie, sa queue fouettait le pantalon du jeune homme tant elle etait heureuse. Elle aurait était un neko, elle se serait surement mit à ronronner. Sentir cette main dans son dos, cette etreinte si chaude, et ces baisers si fougueux, elle adorait cela, ce sentiment d'être aimé et d'aimer qui lui etait inconnu. Elle commencait à s'y faire et à apprecier.

C'est moi qui devrait dire çà...

Elle ne savait quoi dire, entre deux baisers, combien elle n'aurait put trouver meilleur maître. Elle ne se posait plus de questions sur le pourquoi du comment de leur relation naissante, qui avait evincé un instant le rapport maître/esclave pour celui d'aimé/d'aimant sans reelle distinction entre les deux notions puisque l'amour était reciproque.
Le temps s'éait arêté, elle aurait put rester comme çà des années, à partager des baisers, à califourchon sur celui qu'elle aimait, et dont elle esperait n'être jamais séparée.

Il se mit à rire.
Lui ? Merveilleux ?! hoho ! bien sûr que non ! Il n'avait rien d'extraordinaire, peut être ses origines qui faisaient rêver les nipponnes ou bien son métier où il excellait ... non, il n'y avait rien de merveilleux dans tout cela !
Par contre, Cristaleyes était bien plus intéressante, bien plus belle et bien plus intelligente que toutes les autres femmes du monde ! Elle avait le don de redonner le sourire à quelqu'un qui n'a connu que les larmes, elle était capable de faire battre le coeur de quelqu'un comme Vincent qui pensait ne plus jamais aimer, elle savait rendre un lieu plein de vie alors qu'avant sa venue ce lieu était froid comme la mort... Elle savait faire tant de choses ! Et puis, son petit rire cristallin, sa voix, sa peau si douce, son regard profond, ses courbes parfaites, son teint de lait, sa belle toison rousse, son parfum enivrant, son caractère unique, ses gestes reconnaissables... toutes ses choses rassemblées en une seule et même personne, tout ses aspects d'elle qui le rendait fou et lui faisait pousser des ailes !
Il soupira de bonheur, un doux sourire étirait ses lèvres fines ; c'était si bon d'aimer et d'être vraiment aimé !
La main qui était sur la joue de la belle, descendit caresser le cou : ce cou fin que l'on avait peur de briser. L'autre se contenta de retracer la colonne vertébrale provocant sur son passage un frisson ou une cambrure. Tandis qu'il dégustait amoureusement les douces lèvres de son aimée...

A ses mots, Vincent n'avait pas l'air de la croire serieuse. Et pourtant, elle même le trouvait extraordinaire du simple fait qu'il ne se prenait pas la tête, qu'il lui avait fait connaitre le sentiment d'amour et qu'il semblait tenir à elle. Rien qu'en cela, elle le trouvait formidable, et comble de tout, comment un ecrivain ne pouvait ne pas etre formidable aux yeux d'une louve ayant vecu dans les livres comme elle ?
Au passage de la main le long de la colonne vertebrale, l'hybride se cambra comme l'effet avait été voulu. Ses cuisses se contracterent, ensserant celle du jeune homme, et elle poussa un petit cri de surprise accompagnant sa queue qui s'herissa sur le coup. Puis elle sourit, se rapprochant à nouveau de son aimé. Leur visage etaient à quelques centimetres et elle pouvait sentir son souffle chaud la caresser et son odeur si enivrante.

"Recommence pas ou jme verrais dans l'obligation de te sauter dessus, plus encore que je ne le suis..."

Son ton etait presque celui de l'invitation, et son regard vairon charmeur, etait plongé dans celui de Vincent. Elle souriait innocement, et ses petites canines resortait beaucoup sous ses levres fines qu'elle ne tarda pas à poser de nouveaux sur le sourire de celui qu'elle aimait.
En moins de deux jours, la joie de vivre qu'elle avait apporté à l'appartement c'était transformée en une passion debordante.

Elle avait réagit avec plus d'intensité que prévu, il trouva cela fort amusant.
Il sourit en entendant sa soit disant menace et ses doigts vinrent lui titiller légèrement la nuque. Il fit glisser ses doigts le long de son dos comme la première fois en déposant une farandole de petits baisers du coin de la bouche jusqu'au cou de Cristaleyes.
Vincent était d'humeur joueur maintenant, il se sentait comme un jeune adolescent qui découvre un jeu dangereux. C'était grisant et le moindre sursaut de la belle lui donnait encore plus envie de jouer.
Il la regarda dans les yeux en souriant innocemment :

Oh pardon ! Mes doigts ont glissés tout seuls !

Sur ce, il lui vola un long baiser en "griffant" légèrement son dos.

Vincent semblait se complaire à recommencer maintes et maintes fois de la faire reagir. Le dos de la louve etait de plus en plus sensible plus on s'approchait de sa queue, qui etait alors toute hérissée sans jamais revenir à son état normal. Au bout de tant de baisers bien posés et de descendate vertebrale, Cristaleyes etait "aggrippée" litteralement à Vincent. Dans un autre contexte, c'aurait put etre un très bon moyen de la calmer, mais ainsi a cheval sur Vincent, le jeu etait de plus en plus aguicheur et stimulait chacun des sens de l'hybride.

"Moi non plus, jvais pas le faire exprès."

En faisant mine de l'embrasser, elle se blottie dans le cou du jeune homme où elle passa sa langue sensuellement jusqu'à arriver à son oreille qu'elle commenca à mordre gentiment. Elle savait que chez les hyrbides comme chez les humains, les oreilles etaient un point infaillible quand ils s'agissait d'embeter quelqu'un dans un sens plus que positif.

Vincent frissonna au contact de la langue dans son cou et des dents sur le lobe de son oreille. Il fit mine de rien pour l'embêter un peu, puis l'imita avec malice tout en continuant ses caresses dans le dos.
Là, juste derrière son oreille, la fragrance de sa peau était plus prononcée, il huma ce parfum avec délice ; elle sentait bon comme une plaine fleurie au printemps après une petite pluie, la douceur des sous bois un matin d'automne, la fraicheur de l'eau d'une rivière en montagne... Tout ça mélangé donnait un parfum sublime qui le charmait au plus profond de son être.
Il resserra son étreinte, croisant les bras dans le dos de Cristaleyes et repliant les genoux vers lui afin de la serrer encore plus. Ils semblaient ne faire plus qu'un.
Il s'enivrait de l'essence de la peau de son aimée en déposant de petits baisers bien placés dans son cou, le nez plongé dans sa toison rousse.
C'était si bon, si doux !
Il laissa son doux ténor teinté de l'accent anglais briser ce silence langoureux :

Je t'aime !

Il savourait cet instant comme si c'était le dernier, s'imprégnant du doux parfum. Il se laissa glisser sur le dos dans le canapé comme on se laisse glisser dans l'eau et embrassa langoureusement la douce et tendre louve.

La louve se sentait bien ainsi enserrée des bras du jeune homme. Elle avait l'impression de s'être jettée volontairement dans des sables mouvants adorablement chaud à la sensation enivrante. Une fois un peu degagée de cette forte etreinte, elle passa elle même ses mains sous la chemise du jeune homme, et prenait enormement de plaisir au contact de cette peau lisse et douce, sur les tablettes de chocolat inexistantes de Vincent.
Elle vint à nouveau se blottir dans son cou, ils etaient maintenant tout deux etalés en long sur le canapé après s'être laissés emportés dans leur passion amoureuse. Elle continuait de passer sa langue dans cet endroit si agreable, les mains toujours occupées au bas ventre du jeune homme.

Moi aussi je t'aime !

Puis elle revenait tendrement aux lèvres de celui ci, comme pour le punir de l'avoir obligé à parler. Et quelle agreable punition !
La louve avait tous ses sens en eveil, les queue ebourrifée et les oreilles en arriere, mais ne savait pas jusqu'où comptait aller Vincent. Ainsi, elle restait là, à jongler entre le cou et la bouche, mais ses pattes ne pouvaient s'empecher de remonter toujours plus haut dans la chemise bien derangeante.
Des lors, elle se releva, toujours à califourchon sur lui, et fit un délicieux regard comme pour s'excuser, puis elle entreprit de defaire un à un chacun des boutons du vetement pour acceder au torse du jeune homme.

Vincent, les yeux fermés, était comme un animal à l'affut d'une proie. Il sentait chaque geste, chaque frisson de Cristaleyes ; il était attentif au moindre mouvement.
Lorsqu'il sentit les mains de la louve sous sa chemise, il eut du mal a empêcher ses joues de s'empourprer un peu. Soit. Il fit tout autant pour elle, et glissa ses mains dans son dos, retraçant avec délice la cambrure et les ondulations que formaient ses os sous sa peau. Il sortit l'une de ses mains pour lisser ses cheveux roux et soyeux et, par la même occasion, l'embrasser un peu plus fort.
Soudain, elle se redressa. Il la regarda un peu étonné tandis qu'elle lui lança un regard on ne peut plus aguicheur (qui le détendit un peu). Ses fines mains entreprirent de lui déboutonner sa chemise, ses joues s'empourprèrent de plus belle. Il ne s'attendait pas à cela, pas maintenant en tout cas. Il essaya de se calmer, souffla un peu. Sa chemise était maintenant grande ouverte sur son torse pas très musclé, mais svelte. Sa peau était pâle et il n'y avait aucune trace de virilité ... comme un corps d'androgyne...
Il sentit une brise fraiche lui caresser la peau, frissonna et tira son aimée vers lui. Il aurait apprécié de sentir sa peau douce contre son torse mais craignait qu'elle n'attrape froid. Il se contenta de glisser ses grandes mains dans le dos de la jeune femme, dessinant du bout des doigts des petits cercles de chaque côtés de la colonne vertébrale.
Il se sentait étrangement bien...

La louve n'était pas du genre à accelerer les choses qui devaient se faire dans la durée. En le voyant ainsi en train de rougir, elle avait peur de l'avoir brusqué mais ses intentions n'était pas mauvaises. Elle ne cherchait que la facilité de pouvoir le toucher. Mais par peur de brusquer trop de choses, elle decida de ne pas en faire davantage. Elle n'avait pas envie de quitter ce bonheur aussi vite.
A nouveau contre lui, elle profita de ce contact un peu plus direct. Elle sentait les doigts de Vincent dans son dos qui semblait faire une sorte de therapie du bonheur pour eux deux. Elle même avait gardé ses mains sur lui, bien que dans cette position elle ne faisait que sentir cette peau douce et chaude. Elle aimait cette sensation de proximité, sur ce corps qui semblait n'avoir jamais été touché, jamais travaillé. Et c'est pourtant ce corps qui lui plaisait là maintenant.
Couchée sur lui, ils etaient sur un petit nuage et rien d'autre autour d'eux ne semblait important. D'ailleurs, rien n'était important.
Le temps était areté, ou alors extensible, mais pour Cristaleyes, ce qui importait le plus, c'était d'être là, au creux du cou du jeune homme, sa propre main, mouvante par une force qui semblait etrangere, et qui lui parcourait delicatement l'epaule, comme pour y chercher l'imperfection inexistante de cette peau claire et douce de jeune garcon. Mais egalement, les doigts dans son dos, qui n'avient cessés de dessiner des cercles, la faisant reagir au moindre contact avec sa colonne vertebrale.
La fougue du petit couple était retombée doucement, et pourtant, ils n'avaient l'air jamais été aussi heureux, blottis l'un contre l'autre, dans ce canapé de l'appartement desormais animé d'amour et de passion.

Il soupira de bonheur. C'était dans les bras de Cristaleyes qu'il se sentait le mieux ! Il ne voulait plus la laisser s'éloigner de lui.
Ils restèrent ainsi enlacés un long, très long moment ...
Il rouvrit enfin les yeux...
Le salon était baigné dans les ténèbres et la Diva Blanche éclairait une partie de la pièce de son aura d'argent. Tout était silencieux. Pendant un instant, Vincent pensa qu'il était de nouveau seul, son coeur s'emballa et il se sentit affolé limite au bord des larmes, mais quand il vit la jeune hybride allongée sur lui, il se détendit et caressa doucement ses cheveux. Il jeta un coup d'œil au cadran qui trônait sur l'un des murs de la cuisine, il vit vaguement l'heure que pointait les aiguilles et constata qu'il était très tard. Il se redressa doucement, maintenant la belle endormie contre lui et se dirigea vers sa chambre en la portant telle une princesse. Il la déposa tout en douceur parmi le chaos de draps et d'oreillers qu'était son lit et s'installa près d'elle.
Il la contempla un long moment : son joli visage éclairé par la lumière blafarde de Dame Lune renvoyait la lumière comme un halo mystique, ses longs cheveux roux ondulaient sur le tissu blanc semblables aux branches tortueuses d'un saule tourmenté, ses courbes douces se profilaient sous la chemise et le pantalon trop grands. Il caressa doucement sa joue, traça le contour sensuel de sa bouche, glissa vers le cou et posa sa main près de son coeur qui battait paisiblement accompagné des mouvements réguliers de sa respiration ... Bercé, il finit par s'endormir, la main sur le coeur de Cristaleyes et la tête près du creu de son épaule...

La lumiere du jour percait à travers la nuit, qui laissait place au soleil, qui ne tarderait pas à faire sa grandiose apparition dans le ciel. En attendant, la chambre arborait les couleurs mêlées de bleu et de rose de l'aube.
Cristaleyes était bien, dormait paisiblement, une main chaude contre sa poitrine accompagnait son souffle regulier. Elle avait ut l'impression d'avoir changé de pièce et entreouvrit legerement une paupiere pour s'apercevoir qu'elle était dans la chambre de Vincent. Elle se rendit compte dans le même temps que le bras qui l'entourait appartenait au jeune homme, qui dormait tout aussi sereinement à ses côtés.
Elle était là, les yeux ouverts à present, elle se revoyait couchée sur le jeune homme sur le canapé, après qu'elle lui eut ouvert sa chemise, c'était en fin d'apres midi...
Et sans savoir pourquoi, comme si la Terre avait tremblée, elle se releva en sursaut, laissant la main qui l'entourait s'ecarter pour mieux revenir à son proprietaire. Elle ne fit pas attention à lui, et s'affolla pour une raison inconnue, couru dans la cuisine pour verifier l'heure (bie qu'il y eut un reveil dans la chambre dont elle ne soupconnait pas l'existence à ce moment) et gemit comme un chien abandonné devant l'horloge qui affichait les 5h du matin.

"J'ai dut rater un episode d'au moins 12h."

Un frisson la parcourut, elle était sorti en toute vitesse du lit, et remarqua qu'elle était toute habillée. C'est alors qu'elle fut prise d'un leger etourdissement, cause de s'être levée un peu trop rapidement. Elle tenta de se rattrapper à la table mais finit par se laisser tomber au milieu de la cuisine pour reprendre ses esprits. Pendant un instants, elle ne voyait plus rien et perdait la notion de son espace. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas eut ce genre de phenomene, mais c'était toujours aussi penible de se retrouver sans defense dans un endroit peut approprié.

» Cristaleyes
» Petite ballade matinale... (with Cristaleyes)
» Promenade dans le hall
» cache cache dans le manoir (pv Ayu)