Un peu de vie dans cet endroit mort ... (PV Cristaleyes)

Ils rirent longtemps en tournoyant, comme si on venait de leur annoncer qu'ils allaient recevoir un gros héritage. Une euphorie qui ne dura qu'un temps, avant que trébuchant, le jeune homme les fit basculer sur la canapé dans une position assez embarassantes, mais continuaient à rire de plus belle. La louve apprecia, elle aussi n'avait pas rit aux éclats depuis bien longtemps, elle se demanda même si ce n'était pas la prmeiere fois. La visage heureux de son maître la ravissait, et celui ci eut tôt fait de se relever et de la tirer jusqu'à lui pour qu'elle puisse en faire de même.
Enfin calmé, il s'excusa auprès d el louve à qui il ne pouvait s'emepcher de caresser ses cheveux. Elle passa deriere lui, et le poussa à nouveau sur le sofa, qui eut effet de le faire tomber à nouveau sur les coussins. Puis elle se placa devant lui de sorte qu'elle puisse le voir de haut, et fit mine de prendre un air superieur.

Donnant donnant.

Puis, elle eclata à nouveau d'un rire mélodieux, avant de se calmer mais ne bougea pas pour autant de sa position de dominante. Son regard étrange plongé dans celui de Vincent stupefait sur le coup, et qui ne s'attendait sans doute pas à être bousculé de la sorte. Le fait qu'elle était une louve devait beaucoup jouer dans cette attitude de jeu où il faut savoir se maitriser et maitriser l'autre. N'importe qui aurait pu avoir peur, même en sachant qu'elle faisait exprès, mais le jeune homme semblant toujours dans un monde parallele qui le faisait voir à travers la louve tout autre chose que de la peur.

Cristal ne s'attendait pas à être à son tour envoyé sur le canapé, et retomba sur Vincent de manière plutôt indecente, mais ne s'en souciant guère, tous deux étaient aux éclats, la louve sous les chatouilles de son maître. Jamais on ne lui avait fait cela, et elle allait rapidement y prendre gout. N'essayant qu'à peine de se debattre comme par soucis de convention, elle preferait prendre un maximum d eplaissir, puisqu'elle était conscient que cela était partagé. Elle avait élue domicile ici pour offrir de la gaieté à l'appartement et à son occupant, et elle semblait bien se debrouiller.
Puis le jeune homme s'arreta, Cristaleyes respirait fort, mais riait toujours, l'euphorie qui l'animait continua longtemps, mais elle ne quittait pas Vincent des yeux, comme si elle attendait impatiement qu'il bouge à nouveau, dans l'espoir de quelques batailles amicales. Mais elle remarqua qu'il était à nouveau perdu dans ses pensées, et c'est alors qu'elle prit conscience, comme un moment divin, qu'elle était à cheval sur lui d'une facon plus que significative, et leur jeu avait beau être enfantin, ainsi assise sur lui, on pouvait le voir autrement. Ses propres pensées la firent rougir légèrement, mais elle ne bougeat pas pour autant. Faisant mine d'oublier ses pensées les plus intimes, elle tenta la conversation.

"Ca va ?"

Elle commencait à s'inquietait de ses moments de silence où son maître était dans une transe intouchable, dont elle ignorait chaque pensée. Elle lui sourit, et attendit une reaction d ela part de son interlocuteur. Elle le detailla encor ete encore, une nouvelle fois, comme si le temps s'arretait chaque fois qu'elle se prenait à analysé chaque partie du visage de son maître adoré.

Vincent secoua la tête comme un petit chien pour se sortir de sa "transe" et regarda Cristaleyes qui l'observait avec intensité, il leva un sourcil interrogateur, puis, ses yeux s'arrondirent et ses joues prirent une couleur pivoine, elle était à califourchon sur lui et c'était particulièrement gênant. Il sursauta en prenant conscience de sa position et prit la jeune fille pour la reposer sur le sofa, il lui fit un sourire gêné et s'empara d'un coussin. Brandissant le tissu rembourré au dessus de sa tête, il avait repris un teint normal et une attitude joueuse.

Cette fois si c'est moi qui vais gagner !

Il "posa" l'oreiller sur la tête de sa partenaire de jeu, comme s'il ne voulait pas lui faire mal. La partie allait commencer ! Il sauta du sofa et la menaça de son petit coussin, une étincelle dans ses yeux indiquait qu'il était heureux de "retomber en enfance" avec elle. Il souriait tellement qu'il en attrapait des crampes aux joues. L'oreiller vola à travers la pièce pour atteindre son objectif : Cristaleyes. Espérons qu'il n'y ai pas trop de casse !

(pas beaucoup d'inspiration today ! =_=)

Après un moment à se regarder dans le blanc des yeux, les yeux reprirent leur petite bataille. Menacé d'un coussin au dessus de sa tête comme si c'était un obus iminent, Cristaleyes sauta du sofa, pour aller se cacher lorsqu'elle apercu le coussin voler à travers la pièce. Les deux riaient de bon coeur, surtout lorsque la louve se prit le projectile sur le dos.

Tu vas me le payer !

Les deux arrivaient à passer de l'image du couple amoureux aux jeunes enfants joueurs et espiegles. On se serait cru dans une garderie dont la surveillante était partie. L'hybride reprit le coussin, et d'un bond animal et calculé sauta à nouveau sur le sofa sur lequel elle atterit à côté de son maître, et lui envoya le coussin sur le torse pour qu'il ai quelquechose de gênant entre les mains, pendant qu'elle commencait elle même à le chatouiller.
Les deux rigolaient tant et si bien, qu'on entendit un coup de manche à balai sur le plafond; les voisins ne supportaient déjà plus ce bonheur qui naissait à peine dans l'appartement du dessous. Le bruit sourd que cela faisait fit areter Cristal l'espace d'un instant, mais qui continuait de rire.

Tes voisins n'ont pas l'air d'apprecier la joie de vivre que je te procure...enfin que j'amène dans cet appartement.

Voilà que Cristaleyes se retrouvait assise, face à son maître, le sourire qui ne la quittait plus, et une assiette d epâte fumante sous le nez. Avec tous ces jeux, elle ne pensait même plus à manger, le temps passait trop vite en compagnie de Vincent, cela la desorientait. Mais puisque les deux étaient heureux comme çà, ca lui allait. Vivre ainsi toute sa vie ne lui aurait pas deplu.
Elle entama quand même son assiette, doucement, pour ne pas s'ettouffer ou paraitre mourir de faim, mais elle ne pouvait decoller son regard du jeune homme, qu'elle regardait sans discretion aucune, manger ses pâtes avec application. Elle lui aurait presque fait du pied si c'eut été son amant, tant elle se ssentait eprise d elui soudainement, comme la veille dans la salle de bain.

Chuis contente...

Cette phrase était ni plus ni moins une pensée à voix haute de sa part, mais fit lever la tête à son maître. Elle souriait toujours, un peu bêtement d'ailleurs, comme si elle ne se rendait pas compte qu'elle parlait plus pour elle même. Puis elle remarqua qu'elle avait attiré l'attention du jeune homme par cette phrase.

Chuis contente, de t'avoir rencontré.

Alors qu'elle terminait ses pâtes, elle ne put dire autre chose. Elle ne savait que penser de cette vie qui commencait pour elle...pour eux. Son travail s'était accompli plus vite que prévu, donner vie à l'appartement était fait, au vu de splumes de coussins qui trainait encore dans le salon. Mais quelquechose la derangeait. Quelquechose qu'elle n'aivait jamais ressenti, auparavent, même dans les plus beaux livres de philosophie. Elle se surpris même à ne plus psoer une phrase philosoiphique sur chaque moment qu'elle partageait. Ce qu'elle vivait était tout bonnement incomprehensible, et lui semblait aussi changé, mais s'en se soucié de ce qui se passait vraiment.
C'est alors que le jeune homme lui demandz si elle desirait se resservir, et elle accepta d'un hochement de tête, lequel actionna Vincent, heureux qu'elle se reserve des pâtes. Plus aucun mot ne pouvait sortir, et cela jusqu'à la fin du repas.
Elle se rendit compte qu'il avait passé la matinée à jouer comme deux enfants, ce qui lui fit penser qu'il ne faisait rien d'autres. Mais elle se souvitn qu'il était ecrivain, ce qu'il devait faire chez lui, comme un poète solitaire dans un bureau lugubre. Mais qu'en était-il du nouvel ecrivain, accompagné chaleureusement d'une hybride philosophe un peu degantée ?

[HRP: pa sterrible, tu mexcuses du post^^]

Vincent lui proposa un peu de pâtes qu'elle accepta avec une lueur gourmande dans les yeux. Ça lui faisait plaisir qu'elle mangeait avec appétit, ça prouvait qu'il avait plus ou moins bien cuisiné. Il songea au nouveau roman qu'il devait écrire ... Il serait dédié à la jeune louve, c'était sa muse. Il y raconterait les bonheurs d'une joie de vivre retrouvée, les rires enfantins repeuplant un silence dérangeant, une étincelle de vie dans un lieu morne, toutes ses choses qu'il vivait à l'instant grâce à cet être merveilleux avec qui il partageait sa vie. Il soupira, heureux, souriant pour rien, juste par plaisir. Il attendit qu'elle eut vidé son assiette, se leva fit la vaisselle et revint auprès d'elle, il lui prit les mains et la mit debout comme s'il la faisait s'élever de son siège, comme s'ils flottaient dans l'air. Il nageait dans le bonheur, il la fit tournoyer un peu avant de la serrer contre lui comme une sorte de valse silencieuse. Une main dans le dos de la jeune fille, l'autre dans sa toison de cuivre soyeuse, la tête dans le creux de l'épaule de la demoiselle aux yeux vairons, il lui murmura une phrase inaudible puis lui parla clairement :

Je te promet que je ne te laisserait jamais tomber, je prendrais toujours soin de toi ... tu ... tu m'est indispensable, je penses que tu peux me comprendre.

Il n'arrivait pas à utiliser dais mots plus clairs. Il ferma les yeux, savourant cet instant, se délectant de l'enivrante fragrance de la douce peau de l'hybride.

[HRP : bon, visiblement, je ne peux plus changer le cours des choses (et j'ai pas beaucoup d'inspi aussi) je suppose que tu sais se que veulent dire les parles de Vincent ^^...]

Cristaleyes se laissa prendre dans les bras, comme toutes les autres fois, appreciant la chaleur qu'il lui donnait, le contact physique des plus agreable, et cette douce voix qui murmurait à ses oreilles. Le sens de toutes ces paroles lui faisait plaisisr, mais elle ne saisit pas exactement ce qu'il voulait lui dire. Il semblait hesitant, semblait déjouer les mots auquels il pensait. Ne voulant pas être entreprenante et commettre d'erreur quant au sens de ces mots, elle prefera ne rien dire.
Même si elle avait toujours bien vécu par rapport à certains hybrides, elle ne concevait pas une vie meilleure que celle qui se jouait dans les bras du jeune homme à cet instant precis. Elle n'osait plus bouger, ne sachant que faire si elle devait croisé son regard. Puis elle pensa aussi que bouger aurait fait lâcher son coeur, qui battait comme à une fin de marathon, lorsqu'on est sûr de gagner.

Je...moi aussi.

C'était les seuls mots qui purent sortir de sa bouche, alors qu'elle esperait que le temps fusse arêté, les laissant ainsi là, enlacés comme un serpent enroulé à sa branche. Desormais, la vie sans lui serait inpensable, alors que hier matin encore, elle regardait passer les clients d'un refuge miteux où elle séjournait, dans l'attente impassible, que quelqu'un la sorte de sa prison.
Heureusement...il était venu à temps.

[HRP: On peut toujours changer le cours des choses, mais c'est vrai que là, ca serai surrealiste ^^' ]

Il restèrent un long moment enlacés, son coeur battait, ou plutôt fredonnait, en même temps que celui la belle louve aux yeux vairons. Il l'embrassa doucement dans les cheveux et desserra son étreinte, chose qu'il ne voulait pour rien au monde. Il plongea ses yeux émeraude dans les siens et lui sourit tendrement.

bon ... il faut dormir maintenant, demain je t'emmènerais dans un centre commercial pour t'acheter les choses qui te seraient utiles...

Il lui sourit, le regard d'un enfant triste, il aurait aimé la supplier de rester tout le temps près de lui en pleurnichant comme un gamin. Il passa doigts dans ses cheveux, prolongeant sur sa joue et s'arrêtant juste au coin de sa bouche en rougissant. Il retira sa main de ce visage angélique et tentateur, puis, se dirigea lentement vers sa chambre, limite en trainant des pieds.

[HRP : panne d'inspiration. Bon ... on en fait quoi de ses deux là ? j'ai l'impression qu'ils vont finir par être plus qu'amis ... enfin, qui vivra verra ^^]

[HRP: on vient de se lever et tu veux te coucher ? tant pis, on va dire que la journée est passé trop vite ^^]

Ainsi serrée dans els bras de Vincent, Cristaleyes ne voulait plus en bouger, et se senti comme perdue lorqu'il la laissa après un brève intermede de caresse, pour aller se coucher. Non qu'elle toruverait son chemin jusqu'à sa couche attitrée, mais elle n'avait pas vraiment envie de le quitter maintenant.
Aussi, elle resta plantée là, à le regarder se diriger vers sa chambre de facon nonchalente, jusqu'à ce qu'il disparasse dans l'embrasure de la porte. Puis, d'instinct, dans un élan irreflechi, elle se "lanca" à sa poursuite, traversant le couloir à pas rapide, ouvrant la porte sitot qu'il l'eut fermée.

Je...euh...déjà ? Enfin jveux dire, tu veux déjà partir te coucher ?

Se rendent compte qu'elle s'embrouillait, elle eut une reaction typiquement humaine, que de s'enfoncer encore plus avant de detourner la conversation à profit et à raison reelle de son attitude:

C'est pas ce que jvoulais dire..enfin si mais non..mais euh...
...
...jpeux rester un peu avec toi ?

Ses derniers mots furent dit sur un ton si doux, si innocent qu'on aurait pu voir un chiot à qui on avait retirer la mère trop tôt en manque totale d'affection. Son regard profilé dans le sien, elle n'attendait qu'une confirmation pour investir la chambre de sa presence. Endroit qu'elle avait déjà entre apercu, sans jamais vraiment y rentrer, et qui l'interessait inconsciement.
"Montre moi comment est ta chambre et je te dirais qui tu es" pouvait être la phrase type de son motif de curiosité, exepté le fait, que la presnece du jeune homme soit la raison principale.

Alors qu'il lui déposa un baiser sur la joue, Cristaleyes tentait de bien se comporter, trop heureuse de ce qu'il lui annoncait, comme s'il venait de lui dire pour la premiere fois. Trahie par sa queue qui battait vivement de droit à gauche comme un chien qui fait la fête, Cristaleyes abora elle aussi de jolies couleurs rosés sur les joues.
A nouveau tout proche de lui, elle snetait son coeur battre comme s'il voulait sortir de sa poitrine, encore cette drôle de sensation. Elle en ignorait la cause, du moins ne voulait-elle pas y penser, et se demanda si ce serait toujours la même chose entre eux; des calins, des jeux et de la tendresse. Ce qui en soit était déjà beaucoup, mais que voulait-elle d'autre ? Et lui, que voulait-il ?

Chassant ces drôles de questions de son esrit, elle fit mine de ne pas montrer son trouble affecteux, et se posa sur le lit du jeune homme en tailleur, voyant la chemise de celui ci à moitié deboutonnée.

Tu voulais te changer peut être ?

Elle lui parlait doucement, comme si elle ne voulait pas reveiller un habitant enexistant de l'appartement, qui viendrait les deranger de l'intimité de la chambre.

Cristaleyes attendit sagement le retour de Vincent, dont elle entendait l'eau dans la salle de bain, et l'imaginaeait couler contre son corps. Puis, souriant faussement, elle s'enleva ces images de la tête en se disant qu'elle s'égarait. L'occasion était tentante d'aller voir ce qui s epassait dans la salle de bain, mais en y reflechissant, lle se dit qu'il le prendrait surement très mal.
Puis, il apparut dans l'endrement de la porte en pijama, dans lequel il ne semblait pas à l'aise.

Tu dors en pijama ?

La question était sorti toute seule. Cristaleyes sourti, le devisageant de haut en bas, malgré elle. Elle était sure pourtant, qu'il était le type de garçon bien taillé qui s'habille très leger pour dormir. Puis elle rougit à nouveau, par peur qu'il ne se soit habillé juste à cause de sa presence dans la pièce où elle se sentit soudainement de trop.

Cristaleyes fut enchantée de l'iéde et n'attendait pas autre reponse.
Arrivés tout deux au bureau, la louve s'installa sur sa couche improvisée, et regarda son maître s'installer sur son lieu de travail. Elle n voulait aps le deranger mais tardait à le regarder en activité, cherchant sa muse sur le papier peint comme le stereotype de l'ecrivain, accompagné d'un chat etalé sur le bureau.
Au detail pret que Cristaleyes n'était pas un chat mais une louve, et que s'étaler sur le bureau en manque de caresse comme le ferait un chat pourrait porter à confusion, et detruire tout projet d'ecriture pour la soirée.

"Je te derangerais pas, promis !"

Elle disait cela, l'idée du chat encore dans la tête, et se trouva à nouveau à penser n'importe quoi. Assise en tailleur sur la futon, elle ne bougeait pas d'un pouce, comme la louve aux aguets, qui veillent à son post de sentinelle. S'il devait travailler, elle ne ferait rien, sauf si lui même le demandait...

[HRP:Changement de couleur, cause du nouveau background]

Cristaleyes avait passé les deux chapitres en cours d'écriture à regarder son maître comme si le quitter des yeux aurait provoqué sa mort. De temps à autrre, elle chipait un ourson en gimauve ou c'était lui, qui se retournait pour verifier si elle s'était assoupie, ou si elle était tombée dans un profond sommeil.
Apparement, la voir ainsi lui plaisait, mais il finit par retirer ses lunettes qui lui donnait l'air un peu plus savant et ses cheveux tiré un peu plus scientifique...
Cristaleyes se plaisait à le voir ainsi, mais il s'était areté pour la quitter un instant rejoindre la salle de bain.
Revenu sur le pouf en face d'elle, il lui proposa d'ller dormir, que demain il faudrait peut etre courir...

"Courir ? Moi je mord si on t'embete..."

Elle se mit à grogner d'une facon exagérée pour lui montrer qu'elle tenait à lui et qu'elle n'apprecierait guère qu'on le derange. Ceci fait, elle rit doucement, et le regarda droit dans les yeux, lui trouvant chaque un charme bien plus grand...
Mais la nuit était assez avancée et effectivement, une baillement très "sauvage" lui fit se decrochr la machoire devant lui et approuva interieurement, qu'il était temps de dormir.

Tout se passa très vite et la louve n'y compris pas grand chose. Après lui avoir sourit et passé sa mai douce et delicate sur la joue, il s'approcha bien pret d'elle qui se demanda s'il faisait exprès ou s'il desirait vraiment l'embrasser. Du moins le pensait-elle, mais bon, elle na reagit pas tant que çà jusqu'au mment où Vincent se recula vivement en criant tout ce qu'il savait en anglais qu'il était plus que confus, et désolé, et qu'il ne recommencerait pas.
Cristaleyes ne fit que sursauter et grogner sur le coup, tant le recul du jeune homme la surpris. Mais bin vite remise en position initiale, elle regardait les yeux plein d'incomprehension son maître en plein desarroi, qui finit par lui prendre les mains pour se faire pardonner.

...

Cristaleyes avait les oreilles baissées puis dans un élan soudain, se jetta sur Vincent, ses bras autour de la taille, et le serrant fort contre elle. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle ne comprenait pas tellement pourquoi il s'excusait.
Les voilà qui se retrouvaient à terre, la louve couché sur lui, qui était sur le dos, ébahi.

"Un coeur ne peut jamais outrager quand il aime et ce que fait l'amour, il s'excuse lui-même".

La louve ne savait plus où elle avait lu çà, mais elle toruvait que cela collait fort bie avec la situation. Là comme çà, couché sur le torse du jeune homme, entendant ce coeur battre si vite, elle ne trouva que ces mots pour s'exprimer, sachant que ce serait suffisant.